L’atelier mécanique d’Eibon

🔧 Le cœur battant d’Eibon

En retrait du tumulte du spatioport, l’atelier d’Eibon vibre d’une vie propre. Tuyauteries apparentes, modules suspendus, outils entassés dans des bacs empilés, c’est ici que tout ce qui vole — ou clignote — finit par passer un jour ou l’autre.

Au milieu de ce capharnaüm bien organisé trône Kuiil, un Ugnaught méthodique et respecté, ancien technicien impérial reconverti en réparateur de fortune. Connu pour sa sagesse, sa discrétion et sa maîtrise des systèmes anciens, Kuiil est le gardien silencieux du bon fonctionnement de cette enclave technologique.
On le voit souvent en pleine discussion avec les Jawas, ces éternels récupérateurs qui flairent le moindre boulon oublié.

Mais le joyau de son atelier, c’est sans doute JIL-5.


🤖 JIL-5, le robot guideur

Créé à partir d’anciennes pièces impériales, JIL-5 est un droïde humanoïde de coordination au sol, spécialisé dans la gestion d’atterrissage.
Debout sur la piste d’approche, il tient dans chaque main un panneau lumineux :

  • bleu pour guider,
  • rouge pour stopper net.

Silencieux, mais redoutablement précis, il chorégraphie les manœuvres d’atterrissage comme un chef d’orchestre.
On dit que Kuiil l’a entièrement restauré à partir d’une vieille balise orbitale désossée lors de la chute de l’Empire.

« Si tu veux poser ton vaisseau sans finir dans un mur, tu suis JIL-5. » — Un vieux pilote corellien

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