Dans les vastes plaines de la région d’Eibon, où les vents sablonneux croisent les lignes telluriques instables, un engin fend l’air avec une grâce mécanique rare : le train à répulsion de Savareen.
Une technologie au service de la vitesse
Conçu pour flotter à moins d’1 mètre du sol, ce train n’a pas besoin de rails : il utilise un champ de répulsion gravito-magnétique bipolaire, capable de s’adapter dynamiquement à la topologie du terrain. C’est une fusion de technologies antiques de Corellia et de savoir-faire de Taris, couplée à une interface de stabilisation gyroscopique multi-axes.
Le résultat ? Une vitesse de pointe ébouriffante de 500 km/h. De quoi relier les villes et villages autour d’Eibon en moins de quatre heures, même sur des terrains à forte pente ou instables. Seul point faible : les zones rocheuses ou chaotiques où les fluctuations magnoniques brouillent le champ de sustentation.
Composition du convoi
Le train se compose de trois modules principaux :
- La motrice : un bijou de puissance abritant un réacteur ionique à double chambre et une turbine à plasma secondaire pour la relance rapide. C’est ici que se trouve le poste de pilotage.
- Le wagon passager : disposé en module médian, il offre un confort sommaire mais fonctionnel, avec sièges rembourrés, bornes de communication et quelques hublots pour admirer les paysages de Savareen.
- Les deux wagons cargos : pensés pour le transport de vivres, matériaux et parfois de droïdes, ces modules sont blindés contre les tentatives de pillage.
L’équipage
Le train est piloté par Darkan, un ancien pilote de la Résistance. Rescapé de la guerre contre l’Empire, il a trouvé dans cette mission un second souffle. « Quand je suis aux commandes, j’ai l’impression de piloter un X-Wing à ras du sol », confie-t-il. Pour lui, c’est une façon de s’évader, d’oublier les cicatrices du passé.
Il est assisté par :
- R7-F4, un droïde astromécano hautement modifié, spécialisé dans la surveillance des champs de répulsion et la maintenance en vol.
- B1-T0, un ancien droïde de combat B1 reconditionné. Plus philosophe que guerrier aujourd’hui, il gère les diagnostics internes et l’accès aux modules cargo.
Une construction LEGO originale
Ce MOC (My Own Creation) est une pièce imposante, riche en détails : gaines techniques, accès à la soute, cockpit aménagé, tableaux de bord… Le soin porté à la structure tubulaire et aux pentes douces de la carlingue rappelle les designs des transports orbitaux tout en gardant une cohérence avec le style Star Wars.
La construction reste modulable, prévue pour être exposée ouverte afin de dévoiler l’intérieur des wagons.
Ci-dessous les étapes de construction des différents composants du train avec Yuki qui supervise toujours les constructions



